Avant de se mettre en action, il est primordial de comprendre où votre organisation se situe en terme d’émissions de gaz à effet de serre ou de consommation en eau. Une mesure fine permettra d’identifier les postes les plus émissifs et ainsi prioriser les leviers d’action.
Le Bilan Carbone® est une méthode de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre (GES) visant à évaluer les émissions directes ou induites par votre activité ou votre territoire.
Elle s’applique à tous types d’activités : entreprises industrielles ou tertiaires, administrations, collectivités, etc.
En conclusion d’un Bilan Carbone®, pour une année donnée, nous sommes en mesure de déterminer des actions à mettre en œuvre pour réduire les émissions de GES.
Il est important de noter que le Bilan Carbone n’est pas une fin en soi. Il est une étape indispensable dans la réduction de l’empreinte carbone des organisations mais doit être le jalon d’un projet plus global visant à atteindre nationalement la neutralité carbone en mettant en œuvre des actions de réduction des émissions.
Vous pouvez consulter notre article de blog
La méthode utilisée : Méthode Bilan Carbone®
Une restitution est possible dans les formats Bilan GES, GHG Protocol et / ou ISO 14069.
L’année 2022 a été marquée par le manque d’eau général en France et notamment dans les Alpes Maritimes. Au regard de la faible recharge des nappes phréatiques à l’automne 2022, il est probable que l’été 2023 subisse des restrictions d’eau.
L’ACV ou Analyse du Cycle de Vie est l’outil le plus abouti en matière d’évaluation globale et multicritère des impacts environnementaux.
Cette méthode recense et quantifie, tout au long de la vie des produits ou services, les flux physiques de matière et d’énergie associés aux activités humaines.
Cette méthode fait l’objet d’une standardisation internationale par la norme ISO 14040 « Management environnemental – Analyse du cycle de vie – Principes et cadres », complétée par la norme ISO 14044 « Management environnemental – Analyse du cycle de vie – Exigences et lignes directrices ».
Deux approches sont considérées, décrites ci-dessous.
Qu’il s’agisse d’un bien, d’un service, voire d’un procédé, toutes les étapes du cycle de vie d’un produit sont prises en compte pour l’inventaire des flux, du « berceau à la tombe » : extraction des matières premières nécessaires à la fabrication du produit, transport, distribution, utilisation, et fin de vie..
L’analyse du cycle de vie est l'outil le plus abouti en matière d’évaluation globale et multicritère des impacts environnementaux.
Une ACV se fonde sur plusieurs critères d’analyse des flux entrants et sortants. On appelle « flux » tout ce qui entre dans la fabrication du produit et tout ce qui sort en matière de pollution. Parmi les flux entrants, on trouve, par exemple, ceux des matières et de l’énergie : ressources en fer, eau, pétrole, gaz. Quant aux flux sortants, ils peuvent correspondre aux déchets, émissions gazeuses, liquide rejeté, etc.
La collecte des informations relatives aux flux est une étape importante de l’ACV. Ils sont quantifiés à chaque étape du cycle et correspondent à des indicateurs d’impacts potentiels sur l’environnement. La complexité des phénomènes en jeu et de leurs interactions est une source d’incertitude sur la valeur réelle des impacts, c’est pourquoi on les qualifie de « potentiels ».
Source : Qu’est-ce que l’ACV ? ADEME, 2018
Etant convaincu que l’écologie sera le plus grand défi des années à venir, Scilog Conseil agit dans ce sens là. Le développement durable, l’économie de la fonctionnalité sont des sujets concrets qui nous portent au quotidien.
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